Article du PN du 9 juin 2016
Parlons-en. Souhaitée la plus large possible, la concertation sur le Plan local d’urbanisme de la Métropole se poursuit. Seul souci : la participation.
Les habitants qui avaient boudé les ateliers du très glamour Schéma de cohérence territoriale (Scot), adopté en 2015, ou ceux qui se disent déçus par les ateliers de proximité (AUP) de 2013, n’ont pas trouvé davantage de raisons de participer à la concertation ouverte depuis lundi sur le plan local d’urbanisme (PLU) de la Métropole Rouen Normandie qui se substituera en 2019 aux 71 PLU communaux. Le premier atelier public avait beau être « gratuit » (cf la lettre d’information distribuée aux habitants), avec jus de pomme et crackers, pas plus d’une quinzaine de personnes se sont assises à 18 h autour des tables installées à la Halle aux toiles. Parmi elles, bon nombre de conseillers de quartier, deux fidèles militants de l’association Effet de serre toi-même ! et une poignée d’habitants comme Marion, urbaniste ou Christophe, forestier, forcément concernés par l’aménagement du territoire.
Il faut convenir qu’un atelier qui débute à 18 h restreint le nombre de participants aux retraités ou personnes susceptibles de se libérer à cet horaire. Pas les étudiants toutefois. Convenir aussi que le soleil de la fin de ce mardi portait plus à la terrasse qu’à la salle obscure.
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« C’est dommage », regrettait Jean-Michel Bérégovoy, élu EELV à Rouen, qui avait choisi de plancher sur la problématique « Logement ».
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